Si vous êtes des fans de François Pérusse, le titre vous fera rire. Sinon, vous vous direz que je ne sais pas écrire. Dans les deux cas, je ne le saurai pas, et je dois admettre que je m’en fiche un peu.
La dernière fin de semaine, semaine même, a été étrange. Un ramassis de toutes sortes de choses, plus ou moins ennuyantes et désagréables les unes que les autres. En rafale, dans l’ordre du mieux que je m’en souviens.
Vendredi, j’étais dans un état de déchet-humain plutôt avancé quand ma mère m’a téléphoné, bien trop tard, pour me dire qu’un de mes billets récents, dont tout le monde se fiche, Face à la mort, avait créé une espèce de polémique. Quand elle m’a dit cela, je vous dirais que mon cœur s’est un peu serré, parce que je pensais que la personne visée dans le texte en question avait réalisé que je parlais d’elle. Pourtant, c’est une personne dont je ne suis pas proche du tout, autant géographiquement qu’affectueusement. Et j’espérais un peu qu’elle allume.
Non, en fait, le scandale venait du fait que j’avais mentionné que la grand-mère désagréable de l’histoire fictive avait déjà demandé vachement à une de ses petites-filles, il y a de cela au moins douze ans, si elle était « aux femmes ». Bon, dans mon texte, j’ai dit qu’elle l’avait traitée de lesbienne, mais si je n’en rajoute pas, si je n’agrémente pas mes histoires, ça intéressera qui?
Toujours est-il que, en passant je suis allée fouiner dans mes statistiques et, j’ai eu une lecture de billet en Floride. N’est-ce pas étrange? Semblerait-il donc que j’ai une cousine, justement, qui aurait peut-être envie d’être lesbienne, je n’en sais trop rien (et je m’en fiche tellement, que je pourrais aller jusqu’à dire que je m’en torche), et que mon texte a comme parti la rumeur, ou « confirmé » celle-ci. POURTANT, JE N’EN SAIS RIEN. Je supposais. Et mon texte était hypothétique. J’ai dit que la grand-mère était une pas fine et que quelqu’un était con, mais on accroche sur la possible homosexualité d’une figurante de l’histoire. Je ne comprends pas. En résumé, dans les endroits reculés où les familles sont tellement soudées qu’on rejette les cousines issues d’un deuxième mariage, on peut traiter les grand-mères et les tantes de pas fines, mais on ne peut pas citer des faits du passé.
Aussi, mon fils a cru bon s’enrhumer bien comme il le faut samedi, et tousser comme pas un, puis mentionner qu’il avait des bobos dans ses oreilles, ce qui n’est jamais une bonne nouvelle. Puis, aujourd’hui, entre deux quintes de toux, comme si ce n’était pas suffisant, il a cru bon se blesser à un bras, au point de ne plus vouloir s’en servir. Trouver un chiropraticien, un ostéopathe ou un physiothérapeute en plein dimanche soir, c’est un beau défi.
Finalement, un commentaire sur mon plus récent billet m’a fait réaliser que je suis une personne aux opinions simplistes. Savez-vous quoi, je dois avouer que ça me plaît. Ça fera changement de tous ceux qui m’ont toujours dit que j’étais compliquée, dure à suivre.
HAHAHAHA! En tant que non-membre de ta famille et de ton cercle d'amis du monde réel, puis-je me permettre de dire qu'y'en a *une* dans ta famille qui a du temps à perdre en maudit?! Un besoin d'attention, j'sais pas moi, j'pas l'doc mailloux ni l'doc ballard, mais bon ta cousine lesbienne qui reste peut-être dans le garde-robe en Floride s'énerve le poil des jambes un tit peu, là... come on! C'était pas ''DE SON CAS'' que tu parlais mais pas du tout... pas pire pareil, ils ont même internet dans les gardes-robes en Floride... think big sti?!
RépondreSupprimerPour fiston, c'est moche ça... :( J'espère que vous passez de bonnes nuits de sommeil pareil....
Tes commentaires sont simples? Non, ils sont honnêtes, c'est différent.
Allez, bonne journée :)