Pendant plus d’une année, internet a été le siège d’un pourcentage très important de ma vie sociale. Puis, lors de mon retour au travail, par manque d’occupation, ça s’est poursuivi. Je passais plusieurs heures par jour sur internet, à lire des blogues, à m’abrutir sur Facebook et sur Fail Blog. Le soir, en arrivant, sitôt le petit au lit et mon café pris, je recommençais, version confort, à fouiner sur le web.
Lorsque j’ai trouvé mon nouvel emploi, celui que j’ai commencé il y a de cela quatre jours, j’ai été envahie d’une espèce de crainte nostalgique, ou de nostalgie craintive, votre choix, quant à l’abandon de ma « cybervie ». Je craignais ne plus savoir alimenter mon blogue, m’ennuyer de mes blogueurs préférés, ne plus suivre.
Je ne vous mentirai pas, j’ai été tentée quelque fois d’aller « sentir » sur internet depuis lundi mais, honnêtement, ça s’est déjà estompé. Tout nouveau, tout beau, me direz-vous. Peut-être. Je pensais n’avoir que l’idée de sortir mon ordinateur après mon café et vous savez quoi, je le fais par habitude mais n’y trouve plus vraiment d’intérêt.
Outre mes parties de Wordscrapper sur Facebook, j’ai un peu perdu la flamme. C’est sans doute toute cette soudaine stimulation intellectuelle qui m’assomme à ce point, jumelée à la toux infernale de mon fils, et l’intérêt me reviendra peut-être. Même Fail blog ne me dit rien. Je m’amuserais autant qu’avant, mais c’est la motivation d’ouvrir la page qui manque.
Le principal problème est mon soudain manque d’inspiration pour mes blogues. Je pensais qu’à en faire rouler trois assez différents, je trouverais bien quelque chose à dire, mais non. Je participe à un défi d’écriture amical, dont la date de clôture est le 28 février, et c’est le néant. Le vide.
Je finirai cet atroce billet en vous disant que, cette semaine, chez Canadian Tire, les polochons CCM sont en solde. J’aurais bien voulu vous faire un billet entier sur tous ces mots « bâtards » qu’on voit dans les publicités, les journaux, et ailleurs, mais encore là, c’est le vide. Bon, j’ai mal à la tête, en plus, et un solide hoquet. Bonne nuit.
4 jours sobres et tu te crois guérie ? ;) Héhéhé !
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