Trop tôt. Bien trop tôt. J’aimais ça, avant. Maintenant… non. À force d’avoir hâte, d’en trembler en me levant le matin, et de me coucher déçue, j’en suis venue à dire « Ah non… pas encore… » plutôt que « Yes! Un autre party plein de monde saoul qui taponnent et qui disent n’importe quoi! ». Heureusement, le réveillon ne sera pas comme ça.
Ce soir, donc, party de bureau. Celui de mon chum. J’aurais voulu être top canon, la plus belle, la mieux habillée, la mieux coiffée et la mieux maquillée sauf que… J’ai des boutons, j’ai acheté les vêtements qui m’allaient le mieux (les moins pires donc), je suis en chicane avec mes cheveux et côté maquillage, mon vouloir dépasse de beaucoup mon pouvoir.
D’ici là? Je cours chercher mon fils, nous allons chez l’ostéo, nous courons chercher Papa, allons reconduire le fils chez Grand-Papa (A-papa qu’il dit) et A-Maman dans la ville voisine, revenons à la maison, nous préparons, et courons au party. La vie est une course folle. Au moins, semblerait-il que les gens qui se saoulent trop sont en baisse… J’ai hâte de voir.
Bonne soirée et bon « premier Noël de l’année » à moi…
C'est triste de devoir courir pour une fête qu'on finira toujours par détester une fois passée.
RépondreSupprimerCette année, je ne pourrai pas gâter mes petits-enfants ni mes enfants. Mon divorce me les a enlevé. Et même si je les avais auprès de moi, je ne pourrais pas financièrement. J'ignorais que ça coutait si cher.
Désolé de m'être laissé-aller de cette façon...
Pas de problème... mais je me sens superficielle maintenant. Tu m'as fait réfléchir.
RépondreSupprimer